En bonne santé sans vaccins
Voici des explications sur le nouveau logo et slogan représentant l’orientation de notre association
Une solution simpliste à des situations complexes …
Il n’est que normal que les parents se soucient du bien-être de leurs enfants et, partant, de la question de savoir comment les protéger des maladies. Leur désir d’éviter à leurs petits maladies et souffrances s’accompagne souvent, hélas, d’une certaine peur, exploitée, voire attisée par l’industrie pharmaceutique. Dès lors, la première mesure envisagée est souvent la vaccination, prônée comme la « protection » par excellence contre ces « maladies » qui les angoissent. En effet, par l’injection d’« antigènes spécifiques » contenus dans les vaccins, les défenses naturelles de l’organisme, à travers son « système immunitaire », seraient stimulées à produire des « anticorps » contre les supposés « agents pathogènes », anticorps, qui eux seraient la garantie d’une protection. Voilà en quelques mots le processus qui fonde la théorie vaccinale. La vaccination comme soutien du système immunitaire semble donc faire sens. Mais osons y regarder de plus près. Nous verrons qu’il s’agit d’une vision bien trop simpliste pour refléter la réalité, autrement plus complexe.
Faut-il avoir peur de la maladie ?
Déjà, qu’entendons-nous par maladie ? Relevons l’importance de bien définir les termes à la base de l’argumentation, d’où l’usage des guillemets pour certains vocables.
L’état que nous appelons maladie, s’exprime-t-il par de la fièvre, un rhume, une toux, un mal de gorge, une éruption cutanée, un mal de tête ou du ventre, une diarrhée, des vomissements, une inflammation, une paralysie ? Ces symptômes, qu’est-ce qui peut bien les avoir provoqués? Si nous croyons à l’existence de vecteurs « pathogènes » extérieurs tels que définis par la médecine officielle (les bactéries et les virus), notre peur se focalise sur ces agents plus ou moins « infectieux » dont l’unique raison d’être serait d’agresser les êtres vivants. Pourtant, leur virulence n’est pas démontrée. Ce qui nous amène vers un autre domaine qu’il s’agit d’investiguer.
La vaccination, une prévention miracle ?
La vaccination fait souvent figure de prévention miracle. Celui qui lui fait confiance pourrait, une fois vacciné, dans l’assurance de cette « protection » supposée absolue et inoffensive, être tenté d’abandonner toute responsabilité propre pour la santé de son corps. Car la publicité pour les vaccinations, émanant des laboratoires qui les fabriquent et relayée par les autorités et l’ensemble de l’appareil médical, se garde bien d’en appeler à la responsabilité individuelle. Bien plus, elle minimise l’effet des poisons servant d’« adjuvants » dans les vaccins et, pire encore, elle passe sous silence de nombreux effets secondaires trop souvent graves, voire mortels.
Un exemple : le tétanos
C’est quoi au juste, le tétanos ?
Les bactéries du tétanos (Clostridium tetani) peuvent se développer dans le corps lors d’une blessure ou d’une brûlure, notamment lorsque la plaie ne saigne pas : à travers des contractions, l’organisme s’efforce alors d’amener du sang riche en oxygène vers les régions touchées. Il n’est pas prouvé que le soi-disant agent infectieux puisse venir de l’extérieur, p. ex. à travers une blessure au contact avec le sol ou avec un clou rouillé.
À ce sujet, le Dr Johann Loibner fournit des explications édifiantes. Nous renvoyons également les lecteurs au texte du Dr Yves Couzigou qui a décrit le phénomène en détail.
Certes, l’image d’un être humain dont le corps se tend (le terme de tétanos vient du verbe grec téinéin, tendre) et se contracte n’est pas belle à voir ! Et la perspective d’une issue fatale qui serait presque inévitable n’est pas plus rassurante. Mais ce n’est pas pour autant que la vaccination antitétanique constituerait une protection – ni d’ailleurs une intervention sans risque. Il est un fait qu’à notre époque et dans nos régions, indépendamment du vaccin, la mortalité du tétanos frôle le chiffre zéro.
Malgré cette très faible incidence du syndrome
- et bien qu’il puisse être traité efficacement,
- bien qu’aucune immunité ne se développe après sa guérison,
- bien qu’il ne soit pas transmissible,
- enfin, malgré les adjuvants dangereux (aluminium, e. a.) que son vaccin contient,
la vaccination contre le tétanos est le dernier bastion qui résiste, y compris pour ceux à qui toutes les autres vaccinations semblent inutiles ; malgré ces faits, certains pays ont même instauré son obligation ! Une peur irrationnelle de la mort est en jeu ici.
Devons-nous avoir peur de virus pathogènes ?
La « maladie » est une manifestation du corps pour signaler un dysfonctionnement et le corriger. À la base des maladies se trouvent, dans la plupart des cas, soit un empoisonnement, soit une carence, soit le stress, mais rarement des « agents pathogènes » en provenance du milieu extérieur. Tout malade doit être accompagné individuellement.
Cette approche nouvelle des choses exige une mise en question de notre vision du monde, y compris de certains concepts considérés comme corrects jusque-là. Certains points de vue ont, en effet, développé une dynamique propre qui s’est figée au fil du temps, notamment grâce au soutien de l’industrie pharmaceutique qui en tire bénéfice. Afin de comprendre l’origine de la croyance dans la vaccination et de s’en distancer, il est utile de faire un petit détour par l’histoire de la vaccination et d’analyser les dérapages y associés.
Les vaccins, un pas de géant dans l’histoire de la médecine ?
Le concept de vaccination repose sur une vision périmée du fonctionnement de l’organisme et remonte à des chercheurs comme Edward Jenner, médecin anglais du 18e siècle, et Louis Pasteur, chimiste et microbiologiste français (19e siècle). Entre-temps, il est apparu que ce dernier a menti dans une partie de ses déclarations : son propre journal révèle que certains résultats d’expériences publiés par lui ont été manipulés. Ces personnages étaient les promoteurs de l’idée que, si l’on infectait le corps d’une « maladie » sous une forme affaiblie, ce dernier produirait une sorte d’antidote. Ainsi serait-il préparé quand la vraie maladie apparaîtrait, théorie qui se fonde sur l’idée de poison et contrepoison.
Nous reconnaissons ici le concept qui stipule que, dans la plupart des cas, des microbes (bactéries ou virus) supposés être la cause de la maladie, pénètrent dans le corps. À l’époque de Pasteur, des structures comme les virus ne pouvaient pas encore être décelées au microscope, au contraire des bactéries, bien plus grandes. Ainsi, dans le cas d’une maladie où des bactéries n’étaient pas décelables, on a postulé la présence dans le corps du patient d’autres « agents pathogènes », invisibles au microscope, qu’on a appelés « virus », sachant qu’en latin, virus signifie poison.
À noter que d’autres scientifiques, comme les médecins français Claude Bernard et Antoine Béchamp, contemporains de Pasteur, ont estimé que c’est le terrain qui joue le rôle prépondérant dans le développement des maladies, et non pas le microbe. Un corps affaibli ou en acidose, par exemple, est plus enclin à « attraper » une maladie dite infectieuse qu’un corps en équilibre. Nous voici donc en présence de deux points de vue diamétralement opposés.
Pourquoi la théorie de Pasteur s’est-elle imposée jusqu’à ce jour? Plusieurs pistes de réponse existent. Nous renvoyons les lecteurs à des analyses qui traitent ce sujet de manière plus exhaustive.
À ce jour, une protection par une vaccination n’a pu être prouvée scientifiquement. Dans ce contexte, il importe de ne pas confondre protection avec effet. Le titre d’anticorps mesuré après une vaccination révèle bien un effet, certes. Néanmoins, l’idée selon laquelle l’infection d’un corps sain par l’inoculation d’une « maladie » puisse produire la santé devrait inciter à la réflexion. Sans parler des additifs toxiques dans les vaccins qui, à eux seuls déjà, posent de graves problèmes.
Qu’en est-il de la rougeole et du virus y associé ?
Dans les pays tempérés de l’hémisphère Nord, la « maladie de la rougeole », à condition d’être correctement suivie, se déroule le plus souvent de façon bénigne.
Mais c’est quoi, au juste, la rougeole ? Et qu’en est-il du virus de la rougeole ?
Il s’agit là d’une question d’une actualité brûlante. En effet, le 24 novembre 2011, le biologiste Dr Stefan Lanka, peu convaincu de l’existence d’un tel virus revendiqué par la médecine officielle, a lancé à la communauté scientifique mondiale le défi de démontrer l’existence d’un virus de la rougeole. À cette fin, il a mis en jeu un prix de 100.000€ à attribuer à celui qui produirait une publication faisant la démonstration irréfutable de l’existence d’un virus occasionnant la rougeole.
Pour être éligible, le candidat devait suffire aux 7 conditions suivantes : montrer une publication (1) scientifique (2) unique (3) en provenance de l’Institut Robert Koch (RKI, Robert Koch-Institut) (4) démontrant l’existence du prétendu virus (5) tout en en définissant le diamètre (6) et sans faire appel à des modèles (7).
Le Dr David Bardens a prétendu au prix en présentant 6 publications. Il s’en est suivi un procès durant lequel la question de l’attribution du prix devait être clarifiée à l’aide d’un expert. L’Oberlandesgericht Stuttgart (OLG, cour suprême du Bade-Wurttemberg), révoqua en date du 16 février 2016 le premier jugement du tribunal de district de Ravensburg qui avait statué en faveur du postulant. L’arrêt de l’OLG (dossier numéro 12 U 63/15), en faveur de Stefan Lanka cette fois, a finalement été confirmé par la Cour fédérale de justice (BGH) le 1.12.2016. Il est dès lors établi qu’aucune étude prouvant l’isolement correct d’un virus de la rougeole n’a été produite.
Pour la petite histoire : le tribunal a tenté un acte d’équilibriste pour faire croire à un jugement motivé par un vice de forme lié au fait que le candidat avait présenté six (6) publication alors qu’une seule (1) avait été requise. À noter cependant que même la première publication, celle de John Franklin Enders, de l’année 1954, qui est à la base de toute la virologie en ce domaine, n’a pas été retenue comme preuve d’existence d’un virus, sans quoi le tribunal aurait été contraint de la reconnaître. Stefan Lanka souligne encore l’importance d’autres réfutations scientifiques : la réfutation par 4 contre-expertises, la réfutation de l’expert par lui-même, la réfutation de l’affirmation du virus de la rougeole du RKI, la réfutation de toutes les affirmations sur le virus de la rougeole par la preuve du contraire apportée par la 5e expertise, irréfutable et convaincante pour tous : en effet, les gènes du « virus » dit « de la rougeole » correspondent en réalité à des gènes de cellules normales saines (voir le magazine de Stefan Lanka : Wissenschafftplus 2/2017, p.9).
La peur des maladies dites « infectieuses » est-elle justifiée ?
Quoi qu’il en soit, force est de constater que la décision de céder à la pression vaccinaliste des autorités médicales est souvent prise sous l’influence de la peur et non pas sur la base d’une information objective, ni dictée par le bon sens. La peur face à la maladie semble plus aiguë que celle de l’« accident » vaccinal dont le risque, non thématisé, est donc perçu comme infinitésimal. Cependant, vouloir échanger une peur contre une autre n’est pas la bonne approche. Rappelons que la peur est généralement de mauvais conseil.
Devons-nous avoir peur des épidémies ?
Vous référant à ce qui précède, notamment concernant les maladies dites infectieuses, les microbes et les vaccins, vous êtes à présent à même de trouver la réponse. Donc, plus besoin d’avoir peur ! D’autre part, il est certain que les vaccinations n’ont pas contribué à « éliminer des maladies ». Une « maladie » (selon la définition ci-dessus), ne peut être éliminée, la seule idée en est un non-sens. Le cas échéant, certaines conditions qui peuvent contribuer au déclenchement d’une « maladie » (comme p. ex. le fait d’absorber une eau polluée) peuvent être éliminées. Quant à la suppression de supposés agents pathogènes au moyen de vaccins, elle ne figure sûrement pas parmi les options réalistes.
N’oublions pas que la meilleure assurance pour une bonne santé, c’est un mode de vie en accord avec les besoins de l’organisme et un accompagnement des déséquilibres éventuels du corps en phase avec les lois naturelles.