Obligation vaccinale, comprendre la dictature
Nouvel article de la journaliste Senta Depuydt:
Obligation vaccinale, comprendre la dictature
Biocontact Septembre 2017
Nouvel article de la journaliste Senta Depuydt:
Obligation vaccinale, comprendre la dictature
Biocontact Septembre 2017
Vidéo présentant la situation en Italie:
https://vimeo.com/224014038
Le documentaire „VAXXED“ a été projeté pour la toute première fois au Grand-Duché de Luxembourg le lundi 26 juin 2017. Ce film, qui expose courageusement certaines conséquences de vaccinations, a attiré une cinquantaine de personnes, invitées par APPAAL et AEGIS, deux organisations luxembourgeoises qui viennent en aide aux parents concernés par les vaccinations. „Vaxxed“, qui a soulevé d‘énormes polémiques en 2016, année de sa sortie, a donc pu être montré dans la jolie salle dite „Atelier Paradiso“ (ancienne fabrique de confiserie) de Bettembourg.
… Aucune semaine européenne ou mondiale n’arrivera de toute façon à endiguer la défiance croissante envers les vaccins qui ne pourra bien évidemment qu’aller en augmentant, au fur et à mesure où de plus en plus de personnes prendront conscience des mensonges et invraisemblances énormes qui émaillent les discours officiels simplistes et fallacieux en faveur de ces produits (non pas de santé mais bien davantage de maladie en fait!). Mais, idéologie oblige, il est très clair que les démarches toutes plus oppressantes et harcelantes les unes que les autres seront mises en place en toutes occasions:
Lors de notre conférence de presse du mardi 7 juin, nous avons présenté la brochure
« Véro en quête d’explications sur la vaccination HPV »
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Dossier de presse – 7 juin 2016
Brochure „Véro en quête d’explications…“
Avec la rédaction de la brochure „Véro en quête d’explications“ AEGIS Luxemburg a créé un nouveau format, afin de fournir des informations sur les vaccinations, autant aux parents qu’aux jeunes. A l’aide de ces informations les intéressés peuvent trouver un aperçu sur la situation, afin de permettre la prise de décisions informées et responsables. Il nous importe de rappeler qu’au Luxembourg il n’existe pas d’obligation de vacciner. La décision incombe au particulier, qui devrait être prise après explications exhaustives de la part des médecins et administrations. Sachant que les informations pour patients, concernant les possibles effets secondaires après vaccinations, sont lacunaires, les précisions données dans la brochure complètent les tableaux simplistes qui viennent des responsables dans le domaine de la santé publique.
La brochure de 24 pages se base sur le dialogue de Véro, âgée de 12 ans et son père. Le contenu s’adresse donc autant aux parents qu’aux jeunes concernés. En effet, la campagne menée par le Ministère de la santé luxembourgeois s’adresse principalement aux jeunes filles et jeunes femmes. Les illustrations de René Bickel, connaisseur en la matière, complètent l’exposé d’une manière savoureuse.
Pourquoi le thème de la vaccination HPV ?
Nous avons choisi cette vaccination pour notre première brochure dans ce format, parce que les incohérences, informations enregistrées à travers le monde et les possibles effets secondaires graves sont singulièrement frappants. Déjà dans une lettre ouverte adressée au Ministère de la santé le 8 décembre 2014, nous avons signalé ces non-sens sous le titre „“Ver(sch)wendung von Millionen für dubiose HPV-Impfung“.
De même une liste de questions émanant d’un papa soucieux à la suite de l’appel du Ministère de la santé n’a pas fourni de réponses satisfaisantes. Les questions que se posent de nombreux parents étaient la base concrète pour la rédaction de la brochure… qui est donc fondée sur des faits réels.
Critiques de la recommandation pour cette vaccination.
Nous saluons le souci des responsables pour la santé des citoyens et surtout des enfants et adolescents. Mais, si la santé est vraiment prise au sérieux par eux, ils devraient écouter les voix critiques, qui, dans le monde entier, se multiplient contre cette vaccination et les prendre en compte. Ces rapports viennent en partie directement des jeunes victimes, de leurs parents et de médecins.
Ce que nous critiquons surtout lors des campagnes de recommandation pour cette vaccination émanant de l’Etat, est l’absence d’indication sur la possibilité d’effets secondaires graves et durables. Il semble même que ces effets secondaires sont totalement ignorés, alors que dans d’autres pays ils ont déjà été l’objet de discussions. Au Japon p. ex. la recommandation pour cette vaccination a été retirée à cause de nombreux effets secondaires graves.
Nécessité d’une vaccinovigilance au Luxembourg
Dans ce contexte nous attirons l’attention sur la nécessité de rapporter les effets secondaires qui doivent être documentés, c’est à dire d’une vaccinovigilance digne de ce nom, afin qu’un tableau qui corresponde à la réalité soit possible. Les médecins devront être formés à ce niveau. Les patients doivent être conseillés exhaustivement, et les vaccinés devraient être observés par le médecin et, s’il s’agit d’enfants, évidemment aussi par leurs parents. A la suite de la reconnaissance de défauts dans certains vaccins, beaucoup d’adaptations ont déjà été effectuées par l’industrie pharmaceutique. Le Luxembourg devrait être capable de gérer sa propre vaccinovigilance (en collaboration avec le Centre Régional de Pharmacovigilance de Nancy).
Toute vaccination est un acte médical …
… qui ne devrait être envisagé qu’après consultation exhaustive. La prévention de maladies et leur traitement alternatif devraient être abordés, en considérant la situation personnelle du patient. Ainsi, il ne peut être la mission de l’Etat, de promouvoir une campagne de vaccination simpliste qui ne tient pas compte des aspects complexes de la vaccination et qui ne s’intéresse aucunement à la promotion de la santé. Des recommandations pour vaccinations venant d’administrations peuvent être interprétées à tort par beaucoup de personnes comme étant des obligations. Cette induction en erreur doit absolument être évitée.
Parents et associations qui critiquent la vaccination …
… sont la plupart du temps on ne peut mieux informés. Dénigrer ces personnes qui ont tout autant à coeur la santé de leurs proches en les condamnant en bloc avec des arguments massue, n’est pas de nature à être utile dans la discussion.
Il serait plus judicieux de se pencher sur les évolutions (erronées) dans l’histoire de la médecine, d’essayer de comprendre et de voir de manière critique les mythes qui se sont ancrés dans les têtes des humains. Un tel mythe constitue la croyance en une régression des épidémies grâce aux vaccinations. Le fait que la fréquence de certaines maladies a diminué longtemps avant la mise en place des vaccinations d’une façon dramatique, montre bien que l’amélioration de l’état de santé d’une population donnée est due à d’autres facteurs, entre autres une meilleure hygiène et une alimentation plus adaptée aux besoins.
Nous aimerions instaurer un dialogue ouvert avec échange d’informations, basé sur les plus récentes connaissances scientifiques émises indépendamment de groupes d’intérêts. En effet, des voix émanant de scientifiques, mettent en doute l’efficacité des vaccinations dans la prévention des maladies. Une preuve d’efficacité n’ayant toujours pas été fournie, nous sommes choqués de voir le nombre effarant d’effets secondaires graves directement liés aux vaccinations. Tous les jours des milliers de personnes nouvellement vaccinées souffriront le reste de leur vie des effets secondaires. Ce qui manque cruellement, ce sont des études neutres, randomisées et effectuées en double-aveugle en utilisant de vrais placebos.
Le rêve de se protéger sur base d’une sorte d’assurance contre une maladie ne devrait pas être confondu avec des conclusions scientifiques.
Les enfants non vaccinés jouissent d’une santé meilleure.
——————
La protection du patient passe par :
– Relation confidentielle avec le médecin
– Primum non nocere – surtout ne pas nuire
– Convention d’Oviedo : chapitre 1, Art. 2 – Primauté de l’être humain
– Nürnberger Kodex : 1 . Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel.
– Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme (2005) : Art. 6 – Consentement – 1. Toute intervention médicale de caractère préventif, diagnostique ou thérapeutique ne doit être mise en oeuvre qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée…
Communiqué de presse
Liberté de vaccination dans toutes les crèches, maternelles, écoles et autres institutions. Liberté de toute vaccination pour tout le monde.
A l’initiative d’AEGIS Luxembourg, une question parlementaire (QP 1512) avait été posée le 23 octobre 2015 au Ministre de la Santé, Madame Lydia Mutsch. Sa réponse exige une prise de position de la part d’AEGIS.
De plus en plus souvent, AEGIS Luxembourg reçoit des demandes de parents qui cherchent désespérément une crèche qui n’exige pas la présentation d’un carnet de vaccination „tenu à jour“.
Afin de trouver une solution à ce problème, nous aimerions énoncer les réflexions que voici :
Au Grand-Duché de Luxembourg toute vaccination est facultative. Malgré cela le Ministère de la Santé conseille certaines vaccinations selon un calendrier de recommandations. Ici nous voyons une contradiction.
Il est du devoir de ce ministère de protéger la santé de la population. Dès lors se pose la question de savoir s’il est à même de prouver qu’une vaccination recommandée constitue effectivement une protection contre la maladie visée ; de même s’il est en mesure de garantir que cette vaccination ne provoque pas d’effets indésirables ? Comment concilier la propagande pour les vaccinations comme unique moyen de prévention et de faire l’impasse sur les moindres indications quant aux effets secondaires y associés ?
Un ministère de la Santé qui n’informe pas la population sur les effets secondaires possibles après chaque vaccination, ne se rend-il pas coupable de non-assistance à personne(s) en danger ?
Un ministère qui recommande des vaccinations qui, toutes, selon la notice accompagnant chaque (emballage de) vaccin, peuvent produire de graves effets secondaires y compris le possible décès du vacciné, ne se rend-il pas coupable de „coups et blessures“ ?
Comme au Luxembourg il n’existe aucune obligation de vacciner, toute vaccination est une affaire privée. Avant une éventuelle vaccination, un individu (ou ses parents) doit obligatoirement recevoir une information exhaustive sur les avantages allégués tout comme sur les risques encourus, conditions sine qua non de sa décision informée d’accepter ou de refuser une telle intervention médicale.
Il est avant tout du devoir du médecin, de qui les patients peuvent attendre qu’il possède une formation approfondie et des connaissances scientifiques récentes sur les vaccinations (tout en sachant qu’aux universités ce sujet est à peine ébauché), afin de pouvoir informer sur tout ce qui peut se produire. Nous exigeons également que tout parent reçoive spontanément de la main du pédiatre la notice accompagnatrice, afin qu’il puisse s’informer chez soi en toute tranquillité, et prendre une décision en connaissance de cause.
Comme le nombre de cas d’effets secondaires est largement supérieur à ce qui est répercuté dans la presse et ailleurs, nous insistons sur la mise en oeuvre d’un inventoriage systématique. Tout médecin doit obligatoirement signaler toute suspicion d’effet secondaire (en dehors des réactions dites normales et de nature passagère auxquelles on peut s’attendre). Cela veut automatiquement dire qu’ils doivent apprendre à reconnaître de telles réactions. Toute suspicion d’effet indésirable doit être rapportée également par le personnel paramédical (infirmiers, laborantins, sage-femmes, thérapeutes), également par le personnel de crèche ainsi que les parents d’un enfant concerné. Dans le souci de l’indispensable traçabilité, il est évident que la transmission de ces rapports doit être obligatoire.
Nous insistons sur notre demande : aucune crèche, maternelle, école ni autre institution ne peut rendre l’admission tributaire de la présentation d’un carnet de vaccination. Une telle condition irait à l’encontre du principe même de la liberté de vaccination au Grand-Duché de Luxembourg. Les enfants non-vaccinés ne doivent en aucun cas être discriminés. La décision de vacciner doit rester réservée aux seuls parents!
Le ministère est au courant de ce que les crèches de l’Etat tout autant que les crèches privées conditionnent l’admission d’enfants à la présentation d’un carnet de vaccination dûment rempli. Nous exigeons que le Ministère de la Santé fasse la mise au point qui s’impose : il s’agit de respecter la liberté absolue en matière de vaccination.
(pour les QP, voir sous http://chd.lu > Travail à la chambre > rôle des affaires)
Conférence à Bettembourg (L) le 12 novembre 2014
par AEGIS Luxembourg le 26 février 2015
Mise au point au sujet du décès à Berlin d’un jeune enfant atteint de rougeole
Avant que les causes exactes de décès de l’enfant âgé de 18 mois n’étaient définitivement connues, les media ont déjà rapporté que la mort serait due à la rougeole. Pourtant, selon des informations du Netzwerk Impfentscheid (NIE) de Suisse, à ce moment une autopsie était encore en cours pour déterminer ces causes. Peu importe d’autres informations qui pourraient encore fuiter, on abuse déjà de ce cas tragique, mais unique, pour promouvoir la vaccination en tant que moyen adéquat pour la lutte contre la rougeole. Ceci n’est pas correct. Il y a eu également des messages contradictoires au sujet de l’état vaccinal et de l’état de santé général de la petite victime.
On suppose qu’un taux de vaccination de 95% dans une population produirait une „immunité de troupeau“. L’OMS s’est posé comme but d’éradiquer la rougeole. Ce voeu pieux active institutions et organisations nationales et internationales, afin de réaliser ce but. On pense déjà tout haut instaurer une obligation de vacciner contre la rougeole dans les pays où une telle obligation n’existe pas.
Il est totalement illusoire de vouloir éradiquer une maladie infantile. Ce qu’on peut, en revanche, c’est produire des conditions favorables à la santé générale. A éviter donc : les manques dans l’alimentation, les intoxications et l’excès de stress. Un enfant correctement alimenté (sans oublier qu’en début de vie l’allaitement maternel présente e.a. une protection contre toutes les maladies infectieuses) et qui n’est pas intoxiqué (par des additifs alimentaires et adjuvants de vaccins), et qui peut se développer dans un milieu sain et équilibré, reste en général en excellente santé. Les grandes maladies infectieuses ont toutes fortement diminué, bien avant que les vaccinations soient utilisées dans le but de les combattre. En effet, ce sont plutôt les conditions de vie nettement améliorées des dernières décennies qui ont réalisé cet exploit.
Il n’existe, à ce jour, aucune étude indépendante qui aurait démontré une action protectrice de n’importe quelle vaccination. En revanche, ce qui est éminemment connu, ce sont les effets délétères divers, extrêmement nombreux, parfois graves voire mortels. Ainsi une éventuelle décision de faire vacciner son enfant doit être prise en connaissance de cause. A noter aussi que des enfants vaccinés contre la rougeole ne sont pas à l’abri de la maladie.
L’accompagnement correct d’un enfant atteint de rougeole (repos au lit, jeûne, boire de l’eau et surtout: laisser la fièvre faire son travail éminemment important) conduit généralement à une guérison rapide et complète, avec immunité acquise à vie ! Il est judicieux de s’informer au sujet des thèmes de la santé et de questionner les mythes qui entourent la croyance en la vaccination depuis plus de 200 ans. Très actuel à ce sujet: le „Masernprozess“ (procès autour de la rougeole) du Dr Stefan Lanka, qui défend sa vue sur les mécanismes de la vie. Une somme de 100.000 € est offerte par lui à la personne qui saura démontrer qu’un virus provoque la rougeole. Avis aux amateurs intéressés à la cagnotte !
Je suis Charlie… et Kevin, et Cynthia…
Ou l’histoire de l’autocensure de la presse
8 janvier 2015 : la France entière est bouleversée. L’attaque meurtrière dans les locaux de Charlie Hebdo soulève une vague mondiale d’indignation. La réaction du peuple français est sans égale. Un simple slogan se répand dans le pays et bien au-delà : « Je suis Charlie ». Un symbole de la défense de la plume et du crayon contre les Kalashnikovs. Le message est clair comme de l’eau de roche : nous ne permettrons jamais à personne de nous voler notre liberté de la presse, notre liberté de parler !
Cela réchauffe le cœur de voir un peuple uni d’une manière si spontanée pour défendre une valeur importante, pour isoler le terrorisme et l’extrémisme et le contrer par un message de tolérance et de paisible solidarité.
Cet événement nous touche aussi de manière cruelle. Que penser de l’autocensure de la presse, du « cordon sanitaire » qui musèle le mouvement critique des vaccinations dans son entier année après année ?
Les victimes de la tuerie de Charlie Hebdo et les otages pris à Paris méritent notre compassion mais la multitude de victimes qui chaque année perdent leur vie ou leur santé après une vaccination est passée professionnellement sous un silence de mort par la presse entière, sans exception. Notre presse a-t-elle le droit de proclamer sa liberté d’expression alors qu’elle ignore délibérément et consciemment le sort des victimes des vaccinations ? A-t-elle le droit d’accuser les terroristes musulmans alors qu’ils couvrent les crimes de la mafia des pharmas sous couvert de charité ?
Non, bien sûr que non, et c’est cependant notre réalité quotidienne. Et cela fait mal. Aux militants qui savent qu’ils combattent un puissant adversaire, et surtout aux nombreuses victimes qui ne peuvent attendre la moindre justice de la part de cette même presse qui réclame sa liberté d’expression avec tant de passion.
Pouvons-nous espérer que ces événements dramatiques ouvrent les yeux d’au moins quelques journalistes et leur fasse comprendre qu’il est grand temps d’enlever leur masque de Janus ?
Dr « Charlie » Kris Gaublomme,
pour le Forum Européen de Vigilance Vaccinale
– celui contre le virus HPV
Prise de position d’AEGIS Luxembourg concernant la question parlementaire sur la vaccination HPV*
Nous constatons : indirectement il est dit dans l’énoncé de la réponse qu’il n’existe aucune raison de se faire des soucis, ce vaccin serait sûr. On se réfère aux données de l’OMS et au fait qu’aucune complication sérieuse après cette vaccination n’aurait été rapportée au Luxembourg. Il n’est pas fait état des nombreuses études internationales qui rendent attentif aux dangers de cette vaccination.
Questions à approfondir
Les affirmations des ministres sont en contradiction flagrante avec les expériences faites avec cette vaccination. Plusieurs pays relatent de fréquents effets secondaires graves après administration de ce vaccin, y compris des décès chez de nombreuses jeunes filles et jeunes femmes. Comme des sommes énormes sont prévues pour acheter un vaccin extrêmement controversé, nous nous permettons de poser les questions suivantes :
* Comment se fait-il que les responsables aient confiance en des affirmations superficielles venant d’une institution comme l’OMS, dont il est bien connu qu’elle entretient des liens avec l’industrie pharmaceutique?
* Le suivi des jeunes femmes vaccinées est-il effectué de façon sérieuse ?
* Comment fonctionne le système d’obligation de rapporter les suspicions d’effets secondaires après vaccination ?
* Quels sont les critères d’après lesquels un effet secondaire peut être qualifié de dommage vaccinal?
* Quels sont les critères d’après lesquels l’OMS porte un jugement sur la sécurité d’un vaccin ?
* De quelle façon les médecins vaccinateurs rendent-ils attentifs aux risques inhérents à toute vaccination ?
* Pour quelle raison pense-t-on devoir dépenser de telles sommes pour une vaccination dont la raison d’être est contestée ?
Voici l’énoncé exact de la réponse : „Le GACVS (global advisory committee on vaccine safety, comité consultatif mondial de la Sécurité vaccinale de l’OMS) a conclu en mars 2014 que ces deux vaccins (contre les papillomavirus) présentaient un excellent profil d’innocuité“.
* Ici on se demande ce qui se cache derrière cette formulation et d’après quels critères il est possible d’établir un tel profil.
Nous lisons plus loin : „Depuis la mise en place de la vaccination en 2008, aucune complication grave n’a été reportée aux autorités sanitaires nationales par le biais du système de pharmacovigilance.“
* Ici aussi on doit se demander comment fonctionne un tel système.
Un autre propos est à remettre en question : „… les incidences observées de la paralysie de Bell et du syndrome de Guillain-Barré confirmé se situaient dans la plage attendue dans la population générale“.
* Que veut dire ici „plage attendue“? Apparemment on s’attend automatiquement à un certain pourcentage de ces pathologies – qui habituellement apparaissent après vaccination.
Pourquoi cette vaccination est-elle controversée ?
Nous aimerions rappeler que le vaccin contre le virus HPV n’est pas dirigé contre le cancer, comme on veut bien le faire croire, mais contre des infections qui pourraient conduire des décennies plus tard à un cancer du col de l’utérus. Cette forme de cancer est, à l’inverse de nombreuses allégations destinées à faire peur, extrêmement rare dans nos régions et, après traitement correct, rarement mortelle. Même le CSMI (Conseil supérieur des maladies infectieuses du Luxembourg) renvoie en octobre 2014 au fait que 80 à 90% de ces infections disparaissent spontanément. Et encore : les effets de la vaccination sur la morbidité et la mortalité attendraient d’être démontrés. En effet, vu qu’une telle infection peut éventuellement conduire à une maladie grave dans plusieurs décennies seulement, plusieurs décennies d’études comparatives sont nécessaires afin de pouvoir démontrer un éventuel effet protecteur. En même temps le CSMI conseille de continuer à faire le dépistage précoce par frottis cytologique, afin de détecter des cellules pathologiques en temps utile – qui conduirait, dans un tel cas, à un traitement rapide. D’ailleurs, la théorie mono-causale d’un virus comme cause est questionnée par de nombreux chercheurs scientifiques.
Pourquoi un tel gaspillage ?
Vu les faits décrits ci-dessus, on devrait se demander pourquoi notre gouvernement prévoit une telle dépense pour un vaccin dont le bénéfice ne peut être démontré actuellement, mais dont les effets secondaires graves sont bien documentés, tout cela contre une maladie rare et facilement traitable.
Afin d’éviter des pathologies graves imprévues, les personnes concernées sont invitées à se renseigner avant une éventuelle vaccination.
AEGIS Luxembourg (aegis.lu)
*au sujet de la réponse commune des ministres de la Santé Madame Lydia Mutsch et de la Sécurité sociale M. Romain Schneider, le 27 novembre 2014, à la question parlementaire 650 du 24 octobre 2014, posée par la députée Madame Josée Lorsché, porte-parole du parti des Verts pour la politique de santé, au sujet de la vaccination controversée contre le virus HPV.