Conférence de presse: présentation de la brochure sur la vaccination HPV
Lors de notre conférence de presse du mardi 7 juin, nous avons présenté la brochure
« Véro en quête d’explications sur la vaccination HPV »
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Dossier de presse – 7 juin 2016
Brochure „Véro en quête d’explications…“
Avec la rédaction de la brochure „Véro en quête d’explications“ AEGIS Luxemburg a créé un nouveau format, afin de fournir des informations sur les vaccinations, autant aux parents qu’aux jeunes. A l’aide de ces informations les intéressés peuvent trouver un aperçu sur la situation, afin de permettre la prise de décisions informées et responsables. Il nous importe de rappeler qu’au Luxembourg il n’existe pas d’obligation de vacciner. La décision incombe au particulier, qui devrait être prise après explications exhaustives de la part des médecins et administrations. Sachant que les informations pour patients, concernant les possibles effets secondaires après vaccinations, sont lacunaires, les précisions données dans la brochure complètent les tableaux simplistes qui viennent des responsables dans le domaine de la santé publique.
La brochure de 24 pages se base sur le dialogue de Véro, âgée de 12 ans et son père. Le contenu s’adresse donc autant aux parents qu’aux jeunes concernés. En effet, la campagne menée par le Ministère de la santé luxembourgeois s’adresse principalement aux jeunes filles et jeunes femmes. Les illustrations de René Bickel, connaisseur en la matière, complètent l’exposé d’une manière savoureuse.
Pourquoi le thème de la vaccination HPV ?
Nous avons choisi cette vaccination pour notre première brochure dans ce format, parce que les incohérences, informations enregistrées à travers le monde et les possibles effets secondaires graves sont singulièrement frappants. Déjà dans une lettre ouverte adressée au Ministère de la santé le 8 décembre 2014, nous avons signalé ces non-sens sous le titre „“Ver(sch)wendung von Millionen für dubiose HPV-Impfung“.
De même une liste de questions émanant d’un papa soucieux à la suite de l’appel du Ministère de la santé n’a pas fourni de réponses satisfaisantes. Les questions que se posent de nombreux parents étaient la base concrète pour la rédaction de la brochure… qui est donc fondée sur des faits réels.
Critiques de la recommandation pour cette vaccination.
Nous saluons le souci des responsables pour la santé des citoyens et surtout des enfants et adolescents. Mais, si la santé est vraiment prise au sérieux par eux, ils devraient écouter les voix critiques, qui, dans le monde entier, se multiplient contre cette vaccination et les prendre en compte. Ces rapports viennent en partie directement des jeunes victimes, de leurs parents et de médecins.
Ce que nous critiquons surtout lors des campagnes de recommandation pour cette vaccination émanant de l’Etat, est l’absence d’indication sur la possibilité d’effets secondaires graves et durables. Il semble même que ces effets secondaires sont totalement ignorés, alors que dans d’autres pays ils ont déjà été l’objet de discussions. Au Japon p. ex. la recommandation pour cette vaccination a été retirée à cause de nombreux effets secondaires graves.
Nécessité d’une vaccinovigilance au Luxembourg
Dans ce contexte nous attirons l’attention sur la nécessité de rapporter les effets secondaires qui doivent être documentés, c’est à dire d’une vaccinovigilance digne de ce nom, afin qu’un tableau qui corresponde à la réalité soit possible. Les médecins devront être formés à ce niveau. Les patients doivent être conseillés exhaustivement, et les vaccinés devraient être observés par le médecin et, s’il s’agit d’enfants, évidemment aussi par leurs parents. A la suite de la reconnaissance de défauts dans certains vaccins, beaucoup d’adaptations ont déjà été effectuées par l’industrie pharmaceutique. Le Luxembourg devrait être capable de gérer sa propre vaccinovigilance (en collaboration avec le Centre Régional de Pharmacovigilance de Nancy).
Toute vaccination est un acte médical …
… qui ne devrait être envisagé qu’après consultation exhaustive. La prévention de maladies et leur traitement alternatif devraient être abordés, en considérant la situation personnelle du patient. Ainsi, il ne peut être la mission de l’Etat, de promouvoir une campagne de vaccination simpliste qui ne tient pas compte des aspects complexes de la vaccination et qui ne s’intéresse aucunement à la promotion de la santé. Des recommandations pour vaccinations venant d’administrations peuvent être interprétées à tort par beaucoup de personnes comme étant des obligations. Cette induction en erreur doit absolument être évitée.
Parents et associations qui critiquent la vaccination …
… sont la plupart du temps on ne peut mieux informés. Dénigrer ces personnes qui ont tout autant à coeur la santé de leurs proches en les condamnant en bloc avec des arguments massue, n’est pas de nature à être utile dans la discussion.
Il serait plus judicieux de se pencher sur les évolutions (erronées) dans l’histoire de la médecine, d’essayer de comprendre et de voir de manière critique les mythes qui se sont ancrés dans les têtes des humains. Un tel mythe constitue la croyance en une régression des épidémies grâce aux vaccinations. Le fait que la fréquence de certaines maladies a diminué longtemps avant la mise en place des vaccinations d’une façon dramatique, montre bien que l’amélioration de l’état de santé d’une population donnée est due à d’autres facteurs, entre autres une meilleure hygiène et une alimentation plus adaptée aux besoins.
Nous aimerions instaurer un dialogue ouvert avec échange d’informations, basé sur les plus récentes connaissances scientifiques émises indépendamment de groupes d’intérêts. En effet, des voix émanant de scientifiques, mettent en doute l’efficacité des vaccinations dans la prévention des maladies. Une preuve d’efficacité n’ayant toujours pas été fournie, nous sommes choqués de voir le nombre effarant d’effets secondaires graves directement liés aux vaccinations. Tous les jours des milliers de personnes nouvellement vaccinées souffriront le reste de leur vie des effets secondaires. Ce qui manque cruellement, ce sont des études neutres, randomisées et effectuées en double-aveugle en utilisant de vrais placebos.
Le rêve de se protéger sur base d’une sorte d’assurance contre une maladie ne devrait pas être confondu avec des conclusions scientifiques.
Les enfants non vaccinés jouissent d’une santé meilleure.
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La protection du patient passe par :
– Relation confidentielle avec le médecin
– Primum non nocere – surtout ne pas nuire
– Convention d’Oviedo : chapitre 1, Art. 2 – Primauté de l’être humain
– Nürnberger Kodex : 1 . Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel.
– Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme (2005) : Art. 6 – Consentement – 1. Toute intervention médicale de caractère préventif, diagnostique ou thérapeutique ne doit être mise en oeuvre qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée…