Mesdames, Messieurs à la rédaction,
Je soutiens le combat du Pr Didier Raoult et je suis bien contente qu’il ait enfin du succès dans sa lutte pour pouvoir utiliser l’hydroxychloroquine sur des patients atteints de Covid 19. Malgré tout lui aussi se trouve sur la mauvaise piste – et dans ses séries de tests il y aura probablement des morts.
Un virus ne peut se sentir á l’aise que dans un organisme déjà malade – très souvent faisant suite à des dizaines d’années de vie malsaine, ce que montre le fait que la maladie touche presque exclusivement des personnes âgées souffrant de plus de l’une ou l’autre maladie chronique. Bien entendu, cela peut être le cas chez une personne jeune, puisque même dans cette tranche on trouve pas mal de malades chroniques – sauf que ces personnes ont généralement encore une vis medicatrix naturae (force médicatrice naturelle) assez vitale. Des personnes vraiment en bonne santé ne peuvent pas être colonisées par des virus – elles sont, il faut le dire, des raretés.
Devant une personne souffrant de maladie aigue et le « test Corona » (qui d’ailleurs est très peu sûr) positif, et si cette personne souffre de problèmes respiratoires, il faut bien qu’il soit amené á l’hôpital et reçoit l’aide d’une machine respiratoire (entre-temps on a constaté qu’il vaudrait mieux leur appliquer un masque à oxygène, vu que l’hypoxie ne serait pas due à un problème de respiration, mais à un problème de saturation en oxygène). Ce traitement devrait, normalement suffire…
C’est alors que commencent les erreurs médicales en série : la fièvre si salutaire est systématiquement baissée, ce qui constitue l’erreur médicale la plus fréquente et la plus mortelle. Ensuite on administre au patient des antiviraux et/ou des anti-inflammatoires. On essaie de mater les symptômes, au lieu de chercher les causes et de les éliminer. Qui a de la fièvre doit en tout cas et toujours jeûner. Ce qui veut évidemment aussi dire qu’il ne doit pas recevoir d’aliments par voie i.v. Tout cela prolongerait inutilement le temps de guérison.
Au lieu donc de laisser au patient le droit de bien faire sa fièvre, donc la possibilité de guérir rapidement et complètement, on fait donc toutes les erreurs qu’il est possible de faire. Les médecins ne sont même pas à critiquer : ils ne l’ont pas appris autrement à la faculté.
Pourquoi la maladie frappe-t-elle ? Très souvent parce qu’il manque au patient des substances vitales. En tout premier lieu manque la vitamine C, parfois d‘une façon dramatique, proche d’un scorbut mortel. Presque toujours manquent la vitamine D, le zinc, le magnésium, potassium, quercétine et autres. Donc enlever les causes – en administrant que qui manque – tout cela ferait gagner du temps (pas besoin de faire des tests de vitamines, on peut dire qu’elles manquent toujours et dans des cas d’urgence comme ceux-ci, il ne faut pas perdre une seconde – on peut, par contre, tester après quelques jours. Il est possible d’administrer 50 grammes par jour (non, pas milligrammes) de vitamine C par voie i.v. à un patient, pendant quelques jours. Il a urgemment besoin d’une telle quantité, car la vitamine manque dans tous les coins, pardon, dans toute cellule, dans tout organe. Les autres substances doivent également être vite données, mais l’urgence n’est pas si grande.
Jamais la fièvre ne doit être étouffée, quelle que soit la température !!! Sans fièvre il n’est pas possible de guérir – du moins la guérison prendra un temps deux ou trois fois plus long. La fièvre ne monte jamais plus haut que nécessaire. Si une personne très âgée est encore capable de produire de la fièvre, elle sera également capable de la gérer.
Le malade qui peut rester à la maison, devrait suivre la même « thérapie » : « Do nothing, but intelligently » (ne rien faire mais intelligemment). Se mettre au lit, garder la fièvre haute, jeûner et boire juste de l’eau, éventuellement prendre de la vitamine C, de préférence liposomale (jusqu’à 20 grammes par jour !) et les autres substances importantes.
Si ces mesures étaient prises dans tous les hôpitaux, au lieu de faire des expériences coûteuses sur les malades (l’un ou l’autre décèdera des effets secondaires des médicaments, et non du virus !), le nombre de malades devrait diminuer dramatiquement dès demain, comme le nombre de personnes guéries augmentera du jour au lendemain – et très vite, la psychose de la peur serait… terminée.
Ces mesures proposées ne sont pas encore assez bien testées ? Mais qu’attend-on encore pour ne pas le faire MAINTENANT ? A propos : mais bien sûr que la théorie de la vitamine C est prouvée depuis longtemps, des centaines de chercheurs* l’ont prouvé. De plus, le fait que la fièvre est absolument nécessaire en cas de maladie aigue, fait partie des Lois de la Nature, ne devrait donc plus être prouvé.
Il devrait d’ailleurs être bien connu que le Pr André Lwoff et son épouse Marguerite (Prix Nobel médecine 1965) ont montré en 1963 sur le virus de la polio qu’il ne se multiplie plus vers 39°C et qu’il est détruit à 39,6°C. Tout cela vaut plus ou moins pour tous les microbes.
Honnêtement : qui a appris cela pendant ses longues études de médecine ? En mars 2000 on pouvait également lire que les personnes qui, dans leur enfance, avaient eu plusieurs épisodes de fièvre (non descendue !) avaient significativement moins de cancers.
Pour qui connaît tous ces mécanismes, toutes ces Lois de la Nature, une telle maladie ne peut pas faire peur.
Combien de milliers de morts faut-il encore ?
Cordialement
Colette Welter
Mamer, le 28 mars 2020
Hospital turns to high-dose vitamin C to fight coronavirus
A hospital has reportedly turned to vitamin C as a treatment for the coronavirus, after reports emerged from China that doses well in excess of daily Dietary Reference Values (DRV) showed promise
* Linus Pauling, Frederick Klenner, Archie Kalokerinos, Cathcart, Clemetson, Cheraskin, Riordan, Banerjee, Gilbert H. Crussol et non en dernier Thomas E. Levy (les quelques-uns qui me passent par la tête)